dimanche 9 mars 2008

Holga, my love


J'ai enfin reçu mon holga! Mon premier argentique, mon premier moyen format, ma première pellicule développée, beaucoup de premières fois en une seule fois. Bien évidemment, comme premier argentique, j'aurai pu trouver mieux : le holga fait partie de la catégorie des toy cameras de par sa constitution. Un jouet tout en plastique.



Voici la bête : le holga 120GCFN (Glass Color Flash). Le holga trouve ses origines en chine dans le début des années 90, dans sa conception et sa fabrication. Techniquement l'appareil que j'ai acheté n'est pas un holga, mais un woka parce que contrairement aux holgas, le woka est doté d'une lentille en verre (ouaaaah!) : en effet, dans le holga, tout est en plastique, même la lentille... mais la question qui vient à se poser est "Pourquoi s'acheter un appareil de si mauvaise qualité?"

Ce qui Wikipedia dit :
La philosophie peut être résumée par ces quelques mots : « Reduce to the max ». Le Holga est utilisé par plusieurs catégories de personnes :
  • Les photographes qui aiment faire du moyen format (le négatif est plus grand que le classique 35mm, qui fait 24×36mm. Le négatif moyen format fait 60×60 mm) mais qui ont peu de moyens
  • Les étudiants en photographie, les artistes et les amateurs éclairés qui veulent s'éloigner de la complexité croissante des appareils d'aujourd'hui.






Tout est dit : mon holga est tellement approximatif que la lumière rentre dans le boîtier et qu'il faut du scotch pour l'isoler. Tellement approximatif que des chercheurs continuent à se demander quelle est sa réelle vitesse d'obturation et son ouverture de diaphragme ( environ 1/100, et environ 11). Et ce sont ces aléas qui font que les photos produites sont si caractéristiques. Vintage.

Pour plus d'informations, y a Wikipédia et il y a ce dossier qui est vraiment bien documenté.


.current mini-goal:
__Check network project
.current thoughts :
__panties
.current media:
__Babel
.current picture:
__Sortie de Secours(If)/My holga/ Me

Aucun commentaire: