Un petit billet rapide pour marquer le coup. Pour marquer le fait que je suis en train de blogger en amphi, mon portable sur la table.
On a cette chance, dans mon département Informatique de trouver normal d'avoir un ordinateur allumé quand on suit un cours : de ma place, je vois cette personne au premier rang en train de discuter sur msn. Un peu plus haut je vois cette autre personne qui lit un journal online, dont l'article s'intitule : "L'apprentissage par projets préféré des cours magistraux"...On ne pouvait pas mieux le dire.
C'est vrai, c'est n'importe quoi. Je vois des journaux quotidiens à tous les rangs, des gens qui dorment, assis la tête posée sur la table. Par ailleurs, je confesse m'être moi même endomi en amphi, discrètement allongé sur un banc. C'est vrai, c'est davantage n'importe quoi.
C'est n'importe quoi de constater que l'amphi est aux trois quarts vide, et de voir que sur 130 personnes, qu'une poignée n'est présente qu'à ce cours.
Pour ma part, je plussoie cet article. Ces cours magistraux ne nous ajoutent quasiment rien en valeur ajoutée par rapport aux multiples projets qu'on nous impose... Pourquoi continuer? Y a-t-il une manière de sauver cette méthode de travail? les causes peuvent être multiples : les intervenants, le manque d'interactivité, l'écart remarquable entre certains cours et leurs travaux pratiques associés, etc.
Notre génération doit surement être une génération qui a besoin de participer, d'essayer ou d'expérimenter pour pouvoir s'approprier des connaissances.
.current mini-goal:
__succeeding in posting this post, because wifi doesn't really work here
.current thoughts :
__I think i'll leave soon
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__my teacher
mercredi 30 janvier 2008
a little quickie
3 commentaires:
La théorie est un bon somnifère, sans arrière-effets.
Je le constate presque tous les jours...
Et ben moi aussi, je viens pourrir ton site avec des commentaires inutiles... Quoique ton article peut se suffir à lui même mais bon... Tout ça pour dire qu'à Dublin on a quasiment pas de TD, donc on est plus ou moins obligés de venir en cours... Bref c'est relou, heureusement qu'on a pas beaucoup d'heures par semaine (une quinzaine tout au plus !)
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